S’écouter, s’entendre, se respecter …

5 Jan 2022 | Ailleurs sur la toile

S’il est un moment dans l’année où l’on décide de se prendre en main,
c’est bien « ce moment-là », celui de la nouvelle année !
Alors je vous propose de vous écouter, de vous entendre et de vous respecter, VOUS,
comme la personne la plus importante de votre vie ! Si, si !

Psychologies.com a interviewé Christèle Albaret, auteure du livre « La charge émotionnelle ».
Je n’ai pas encore lu le livre, mais l’article donne envie …

Bonne lecture !

Charge émotionnelle :
Et si on arrêtait de prendre sur soi ?

De par notre éducation ou notre caractère, il nous arrive d’accepter des choses qui ne nous conviennent pas. Prendre sur soi, puisque c’est de cela dont il s’agit, peut nous conduire à nous renier, faisant fondre notre estime de soi et nous gâchant la vie. C’est la charge émotionnelle. Heureusement, il est possible de s’en libérer, assure la psychologue Christèle Albaret.

Au sommaire

— En quoi la charge émotionnelle se différencie-t-elle de la charge mentale ?
— Une question d’éducation
— Faire des propositions …
— Idée de respect de soi
— Où il est question d’une boîte aux lettres et de sac à dos
— Comment prendre conscience ?
— Se libérer de la charge émotionnelle
— Eviter le piège des ruminations
— Ne pas faire de demi-choix
— Etre authentique

POUR QUOI ÇA FAIT SENS ?

Beaucoup de personnes que j’accompagne, ou que je côtoie dans ma vie personnelle, tous âges confondus, parlent d’une fatigue diffuse, d’un épuisement latent, d’un genre de brouillard : un “je n’en peux plus” difficile à nommer. La charge émotionnelle en est souvent la source.

Si on connaît de plus en plus la charge mentale (cet état de se sentir envahi, submergé par toutes les choses du quotidien auxquelles on doit penser et dont on croit qu’il est de notre responsabilité de les faire), on connaît moins bien la charge émotionnelle.

La charge émotionnelle est en lien avec nos sentiments, nos ressentis, nos émotions. Comme un trop plein qui déborde et fragilise tout notre édifice.

Cela prend la forme de personnes épuisées d’avoir trop longtemps « pris sur elles ». Derrière la charge émotionnelle, il y a souvent un besoin oublié : celui d’être entendu·e, et des difficultés à poser des limites, à oser dire « non », pour retrouver un espace intérieur qui respire.

Et c’est souvent plus difficile qu’on ne le croit, surtout lorsqu’on a appris à être disponible pour les autres avant soi-même.

Le chemin est d’apprendre à repérer ce qui se joue dans nos relations, ce que nous portons « en trop », ce que nous avons envie de garder et ce qu’il serait bon soit de rendre à l’autre, soit de jeter … carrément ! Objectif avoué : se respecter.

S’écouter, s’entendre, se respecter : ce n’est pas de l’égoïsme, c’est une façon de vivre plus juste … et plus libre.

On s’y met ?

Lire l’article intégral sur […] Psychologies.com

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